Je reviens aujourd’hui avec un article qui sera long et plein d’émotions, puisque je viens vous partager le compte-rendu de mon premier semi-marathon.
Comme je vous l’ai déjà dis dans mon précédent article sur la course à pieds, je partais en séjour ERASMUS avec ma folle envie de participer à une course officielle à l’étranger. Je crois que c’est l’un des rêves de chaque runneur, prendre le départ d’une course à l’étranger. En tout cas c’était l’un des miens. Comme le dit très bien la citation « Ne rêves pas de ta vie, mais vis tes rêves », j’avais toutes les cartes en main pour réaliser ce rêve puisque je partais pour vivre un semestre à l’étranger, il ne me restait donc plus qu’à trouver une course à laquelle participer.
L’envie était là, je n’avais qu’un pas à faire pour réaliser l’un de mes rêves, mais le manque de confiance en moi, l’appréhension et le stress dû au réveil de mon syndrome fémoro-patellaire aux genoux à mon arrivée en Irlande-du-Nord m’a fait douter et a tout remis en cause. J’en avais parlé à mes proches et à mes copines nantaises runneuses, tous me disaient que j’en étais capable. Même si la forme physique n’était pas là, ils m’ont tous rappelé l’expérience et le vécu que j’ai en course à pieds et que le principal objectif d’un 1er semi-marathon (comme celui d’un 1er marathon) c’est de franchir la ligne d’arrivée avec le sourire. Toutes ces discussions m’ont permis d’avoir ce courage qu’il me manquait pour franchir le pas et acheter un dossard. Mon choix s’est donc dirigé vers le semi-marathon d’Omagh (Irlande-du-Nord), qui tombait pile pendant la semaine où mes parents me rendaient visite. Participer à un semi-marathon à l’étranger et avoir en plus mes parents à mes côtés pour partager ce moment inoubliable, c’était un petit peu la cerise sur le gâteau. Ni une ni deux, le 26 février, je prends un dossard.
Ma préparation à ce premier semi-marathon se résumera à 6 sorties au mois de mars. 2 sorties de 5km, une de 7km, une autre de 10km, de 12km et une sortie longue de 17km le 19 mars. Je ne suis donc pas un exemple à suivre en terme de préparation/plan d’entraînement, mais étant donner les circonstances et la santé de mes genoux, je préférais me préserver pour être opérationnelle le jour J.
Comme je vous le disais un petit peu plus haut, mes parents venaient me rendre visiter cette semaine là. Ils sont arrivés le mercredi 29 mars, je leur avais préparer un petit road-trip à travers l’Irlande et l’Irlande-du-Nord. Nous étions tous les jours en vadrouille, toutes les nuits dans des lieux différents. Donc autant vous dire que j’ai fais un marathon restaurants toute la semaine qui a précédé ma course (Tiffany si tu passes par là, tu connais aussi ce type de marathon pré-course, aha). Ce changement brutal d’alimentation m’a d’ailleurs un petit peu stressée, j’avais peur de me sentir lourde, d’avoir des difficultés à digérer, etc… Encore une fois, j’ai suivi les précieux conseils de Tiffany dans mes choix de plats, tout en me faisant plaisir.
Nous sommes arrivés la veille, le vendredi 31 mars, à Omagh vers 17h00. Nous sommes directement allés retirer mon dossard, non pas sens mal pour trouver le lieu en question. Le stress n’était pas du tout présent, jusqu’à ce moment là. Je crois que le fait d’avoir du mal à trouver le gymnase où retirer mon dossard, devoir faire répéter les organisateurs lorsqu’ils m’ont parlé parce que je n’avais pas compris m’a mis un bon coup de stress. Je n’avais pas peur de ma course, j’appréhender plutôt l’organisation (le fait de courir seule autour d’étrangers, dans un pays étranger…). Après avoir rejoins notre Bed&Breakfast où nous allions dormir, nous sommes repartis pour diner. Nous avons trouver un petit restaurant italien où j’ai pu y manger des pâtes accompagnées d’une escalope de poulet. Les réserves d’énergie pour le lendemain étant faites, nous sommes rentrés pas trop tard. J’ai pris le temps de préparer ma tenue, de me faire mes tresses pour ne pas être dérangée par mes cheveux pendant la course, de me masser à l’arnica et je me suis endormie assez facilement.
Venons en aux faits, le sujet principal de cet article, le jour J et le récit de ma course.
Un réveil en douceur à 7h30 avec la satisfaction d’avoir passé une bonne nuit et de se sentir reposée. Un dernier massage à l’arnica avant d’enfiler ma tenue et mon plus beau T-shirt, pour représenter fièrement le HappyRunningCrew. Les hôtes m’avaient concocté un petit déjeuner adapté, oeufs brouillés et toasts de pain complet, que j’ai accompagné d’un petit peu de fromage blanc, d’une banane et d’un thé vert. Nous sommes partis vers 9h30 sur les lieux de la course. Il y avait environ 2 000 inscrits sur le semi-marathon (il y avait aussi une course de 5km et le semi-marathon en format marche également), il n’y avait pas de SAS, nous partions tous en même temps à 11h00. Entre 9h30 et 11h00 nous avons eu droit au vent, à la pluie… Je commençais à m’impatienter, je n’avais qu’une hâte prendre le départ de cette course que j’attendais tant. A 10h45 il y avait toujours personne autour de la ligne de départ, ça m’a un petit peu étonnée. Une dernière pause pipi, une photo pré-course par maman, quelques câlins d’encouragements et me voilà partie sur la ligne de départ. Puisqu’il n’y avait pas de SAS, je me suis faufilée et me suis trouvée une petite place du côté gauche de la route car je savais que mes parents m’attendraient un petit peu plus loin de ce côté là.
Je partais sans objectif de temps, je voulais juste profiter de cette course et ne pas me blesser à nouveau. 3 semaines avant mon SM, je disais à Tiffany que je pensais prendre un rythme de 6’10/km (bien loin de mon rythme de course de ces derniers temps, mais un rythme que je trouvais adapté aux circonstances). Tiffany me disait que j’étais capable de partir sur un rythme de 5’50 ou 5’55/km. J’avais d’ailleurs fais ma sortie de 17km peu de temps après, avec un rythme de 5’54/km, qui m’avait rassurée. Je pensais donc partir sur un rythme similaire, mais surtout adopté un rythme où mes sensations seraient bonnes.
KM-1
Malgré un seul et unique départ, la route n’est pas bouchée et je peux me mettre à courir dès l’arche de départ. Nous partons sous une averse. Au départ je préfère ne pas regarder ma montre, je me dis que je la regarderai après avoir trouvé une allure qui correspond à mes sensations. Au bout de 600 mètres, je me rends compte que je suis sur un rythme de 5’45/km. A ce moment là, je me dis qu’il est impossible que je tienne cette allure sur 21km, je me force à ralentir un petit peu et passe le 1er kilomètre avec une allure de 5’47/km.
KM-2 à KM-5
Malgré le coup de frein donné, les jambes déroulent, les spectateurs sont là, je me laisse emportée par mes sensations qui sont plutôt bonnes et je passe le 2ème kilomètre avec une allure de 5’41/km. Je remets un coup de frein au 3ème kilomètre pour retrouver une allure de 5’47/km. A ce moment-là, je suis persuadée d’être en train de me cramer dès les premiers kilomètres et que je vais devoir le payer un petit peu plus tard sur la course. Je vois d’ailleurs le « pacer 2h00 » revenir à mon niveau (je ne l’avais pas vu sur la ligne de départ). Je passe le 4ème et 5ème kilomètre à le suivre plus ou moins, lui et la troupe qu’il amène avec lui, avec un rythme de 05’27/km et 05’33/km. Il y a un ravitaillement au 5ème kilomètre, mais je ne m’y arrête pas.
KM-6
Lorsque je me rends compte de ce rythme, toujours persuadée que je ne tiendrai pas, je préfère le laisser me distancer, après tout je m’étais dis que je n’avais pas d’objectif, alors pourquoi m’accrocher à ce « pacer » pour être sûre de passer sous la barre des 2h00. Je préfère profiter de ma course et d’être agréablement surprise à l’arrivée plutôt que de me focaliser sur un temps, une allure. Je retrouve donc une allure autour de 5’40/km au 6ème kilomètre.
KM-7
Les genoux sont toujours bien en place, pas de douleurs ou de signes de faiblesses. Par contre je commence à sentir mon psoas (qui m’avait fais souffrir après ma sortie de 17km). Je préfère ignorer cette douleur en me concentrant sur ma course et d’en profiter un maximum.
KM-8 à KM-11
Je réussi à rayer la douleur au psoas de mon esprit, les sensations sont toujours bonnes, la pluie cesse de tomber. J’ai déjà 8 kilomètres dans les jambes, mais je me sens si bien, j’ai arrêté de me focaliser sur mon allure 4’45/km et je décide de faire confiance à mes sensations une bonne fois pour toutes. Je fais confiance à mes jambes, je ne me m’oblige plus à ralentir et je passé ces 3 kilomètres avec des allures de 5’34/km, 5’36/km et 5’29/km. Je passe une nouvelle fois le ravitaillement du 10ème kilomètre sans m’arrêter, je n’ai pas soif, je me sens bien, je décide de continuer. J’avais toujours le « pacer 2h00 » dans mon champ de vision, je me dis que si toutes les conditions sont optimales, j’essaierai de le rattraper un petit peu plus tard dans la course.
KM-12 à KM-14
Au 12ème kilomètre, je me dis que le moment de retrouver le pacer 2h00 a sonné. Les sensations sont bonnes, je ne veux rien avoir à regretter, alors je décide de me faire confiance, quitte à devoir le payer sur les derniers kilomètres. Je le donc rejoins pendant mon 12ème kilomètre avec un rythme de 5’25/km dans lequel je me sens à l’aise. Je reste à ses côtés pendant le 13ème et 14ème kilomètre, et je me cale sur son rythme, qui me fait ralentir à un rythme de 5’34/km, puis 5’39/km. J’ai à nouveau la sensation d’obliger mes jambes à ralentir (comme sur les premiers kilomètres), alors qu’elles veulent avancer. Je prends donc une nouvelle décision, laisser le pacer 2h00, mais cette fois-ci en partant devant. C’est un risque que je prends, mais je me sens vraiment bien et la première partie de course m’a aidée à prendre confiance. Mes parents m’attendent au 14ème kilomètre, j’en profite pour leur laisser mon K-way qui me dérangeait plus qu’il ne me protégeait des intempéries. Voir mes parents et leurs sourires me booste encore plus et me convainc de me faire confiance.
KM-15 à KM-17
Je continue ma course toujours avec le sourire, ça fait maintenant quelques kilomètres que nous sommes quelques uns à se suivre et à accélérer collectivement, puisque mon allure descend à un rythme de 5’22/km, 5’31/km, puis 5’20/km. Je passe à nouveau le ravitaillement du 15ème kilomètre sans m’y arrêter, je n’en ressens pas le besoin. J’échange quelques mots avec une autre coureuse, on se booste, ça me motive encore plus.
KM-18 et KM-19
Une fois le 18ème kilomètre passé, je suis déjà en record de distance (puisque mon record de distance était 18km le 20 novembre 2016, à Nantes, en compagnie de Tiffany et Julie), c’est donc que du bonus et du bonheur par la même occasion.
A la moitié de ce 18ème km, je commence à ressentir une légère douleur au genou gauche. C’est impossible pour moi d’imaginer abandonner maintenant, ou même ralentir, il reste moins de 3 kilomètres. Je m’interdis donc d’y penser et je continuer de me concentre sur ma course et de profiter. Je passe les 18 et 19ème kilomètres avec une allure de 5’28/km, j’arrive à faire abstraction de mon genou, que je ne sens plus et profite pleinement des derniers kilomètres.
KM-20
Je me rends difficilement compte que la fin approche, je suis encore si bien. Le souffle est là, les jambes aussi, je me sens vraiment, je suis tellement heureuse d’être là, tellement heureuse de la tournure de ma course. Je n’ai pas passé la ligne d’arrivée que je me fais déjà mon compte-rendu dans ma tête. Je pars donc à la conquête de cette ligne d’arrivée avec une allure de 4’54/km sur le dernier kilomètre, j’avais tant rêvé de ce moment. A ce moment-là, il me tarde aussi de retrouver mes parents à l’arrivée. L’arrivée se fait autour d’un stade, je ne me souviens plus des derniers 300mètres autour du stade. Je me revois juste fixer ce compteur en haut de l’arche, et me vois franchir la ligne d’arrivée lorsque les chiffres 1’57’06 » se sont affichés, avec les larmes aux yeux.
C’était tellement inespéré. J’avais rêvé finir mon premier semi-marathon sous les 2h00, mais je m’étais fais à l’idée que ça ne serait pas le cas à cause de ma blessure et de mon manque d’entraînement. Je savais cependant que j’aurai l’occasion de prendre ma revanche sur les prochains. Mais je n’arrivais pas à réaliser que j’étais en dessous de cette barre des 2h00.
Il y avait foule à l’arrivée, je me suis retrouvée avec ma médaille autour du cou, mais je n’avais toujours pas réalisé. J’ai avalé une banane, en cherchant en vain mes parents. Je m’attendais à les voir quelques mètres avant l’arrivée ou après l’arrivée, mais je n’avais pas entendu mon nom sur les derniers mètres et je ne les trouvais pas à l’arrivée. Au bout de 10 minutes, j’ai finalement appelé ma maman pour savoir où est-ce qu’ils se trouvaient, elle m’a répondu étonnée de mon appel en me disant « Tu es déjà arrivée? ». Ils s’étaient égarer dans la ville et n’avaient pas pris le bon chemin pour rejoindre l’arrivée. Je les ai donc finalement retrouvé 25 minutes après mon arrivée, frigorifiée, mais bien contente de les serrer dans mes bras et de voir leur fierté dans leurs yeux. Pour une fois, je crois que moi aussi, pour une fois, j’étais fière de moi et de ce que je venais d’accomplir. Je finis donc mon premier semi-marathon avec un temps d’1’57’06 », avec un rythme moyen de 5’31/km. Ca m’importe peu, mais d’après les résultats officiels, je finis 932ème/1680 (total), 218ème/691 (femmes) et 62ème/171 (catégorie).
Je ne sais pas si c’est le litre d’eau de coco avalé après la course, mais je n’ai eu aucune courbature le lendemain ou le sur-lendemain (je les ai attendu pourtant, aha). Aucune douleur au genou non plus, les jours qui ont suivi le semi-marathon. Un psoas un petit peu douloureux, j’ai donc continué ma petite routine étirements pour soulager tout ça. Dès le lendemain, je n’avais qu’une hâte, recommencer et reprendre le départ d’une course officielle le plus rapidement possible.
Je ne vous ai pas parlé du parcours. J’appréhendais un petit peu de devoir faire 21km en centre-ville, entre buildings et pots d’échappement, mais pas du tout. J’ai été agréablement surprise du parcours, qui m’a permis de profiter encore un peu plus des paysages irlandais. La première partie du parcours s’est déroulée dans un sous-bois, nous sommes ensuite repassés près de la zone de départ/arrivée, avant d’aller faire une seconde boucle au milieu des champs et des moutons. Un parcours plutôt plat, à peine une 100aine de mètres de dénivelé. Je pense que ça a joué sur les bonnes sensations et sur le fait que mes jambes déroulent pendant tout le parcours. L’organisation quant à elle, était vraiment top. Trois ravitaillements, un race-pack plutôt bien fourni, un ravitaillement bien fourni et « typique » (shortbreads, scones, latte tea…) et des infrastructures adéquates pour se changer/doucher.
J’espère ne pas avoir été trop longue, et avoir réussi à vous « captiver » jusqu’ici. Comme je le dis un petit peu plus haut. Je suis heureuse de la tournure de ma course et de son déroulé. Alors oui, si j’avais fais confiance à mes sensations dès le départ, puisque j’avais encore de l’énergie à l’arrivée et que je n’ai pas eu de courbatures, c’est peut-être signe que j’aurais pu gagner quelques secondes ou minutes, mais j’ai pu profiter de chaque kilomètre et m’éclater du départ à l’arrivée, et c’est ça qui m’importait. Et puis si j’étais à l’aise, c’est peut-être signe que je peux faire mieux et m’améliorer. Alors à moi de battre ce RP sur de prochains semi-marathons, parce que oui, il me tarde de recommencer.
Je conclus en remercier tous mes proches (famille et amies) qui ont cru en moi avant même que je prenne le départ de cette course, qui m’ont encouragé, m’ont aidé à me faire confiance.
A très vite,
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14 Comments
Maman
1 mai 2017 at 12 h 57 minIl est vrai que nous nous sommes enmêlé les pédales entre les kms et les miles pour calculer le temps que nous avions pour aller boire un café et nous réchauffer. 😦Bon lorsque nous t avons retrouvé toute fraîche et pimpante on aurai pas dit que tu venais de faire ton semi😀encore felicitations ma chérie 💪❤😚
juliiiiiie
1 mai 2017 at 16 h 49 mincette émotion, ces sensations je les comprends tellement bien. Tu peux être super fière de toi Marie. Malgré les douleurs, les doutes et les baisses de moral tu n’as rien lâché, tu as profité à fond et finalement tu as fais mieux que ce que tu espérais! J’espère bien courir le prochain à tes côtés <3
UnPetitBoutDElise
28 juillet 2017 at 12 h 50 minSuper ce CR! bravo pour ce premier semi tu peux être fière de toi! le corps a des ressources qu’on n’imagine pas parfois et tu as pu le voir sur cette course 🙂
marieeppe
28 juillet 2017 at 13 h 32 minMerci beaucoup Elise. Lire ce commentaire à mois+4 bientôt me fait me rendre compte comme j’ai l’impression que c’était hier et que j’étais fière une fois cette ligne franchie. Prochain challenge fin octobre, il me tarde 🙂
A bientôt,
UnPetitBoutDElise
28 juillet 2017 at 14 h 03 minOui je découvre seulement ton blog du coup je suis un peu à la ramasse ^^ ah super bonne prépa pour ton futur objectif alors!
Claire
18 août 2017 at 16 h 08 minGénial ! J’admire les semi-marathoniens et marathoniens… courir sur une distance comme celle-ci ca paraît tellement impossible !
Je vois que tu fais partie du Happy running crew, j’aimerais en faire partie également mais j’ai peur qhs trop leu de personnes où j’habite n’en fasse partie… des conseils ?
Merci !
Claire
marieeppe
19 août 2017 at 7 h 16 minBonjour Claire,
Ca me paraissait impossible à moi aussi, il m’aura fallu 10 ans pour sauter le pas, quand d’autres courent leur premier marathon, après 1 seule année d’expérience. Mais les principal c’est d’y aller à son propre rythme et sensations.
Etant adhérente, je peux voir où se localisent les autres adhérents, sans indiscrétion de ma part, vers quelle grande ville te trouves-tu ? Sinon je t’invite à aller sur le groupe Facebook ou Instagram du Happy Running Crew où tu trouveras toutes les sessions d’organisées et où tu pourras y laisser un petit mot pour demander si certains habitent près de chez toi.
Je pense que ça peut-être une très bonne solution pour rester motivée et pourquoi pas t’améliorer encore et dépasser tes limites.
A très vite,
Claire
19 août 2017 at 13 h 44 minHello ! J’habite à Poitiers, et je regarde régulièrement la page Facebook du Happy running crew mais rien n’est organisé sur Poitiers… J’ai aussi un peu « peur » car je cours très lentement et je ne sais pas si je pourrais tenir le rythme avec d’autres runner ! Pour moi courir doit avant tout être un plaisir 🙂
marieeppe
21 août 2017 at 8 h 48 minBonjour Claire,
Je me suis renseignée, il y a une fille adhérente du Happy Running Crew habitant Poitiers, une Claire également (@claire_jrlln sur Instagram) si jamais.
Je comprends totalement ton appréhension. Mais sache que les sorties en groupes comme ça sont pour la plupart à des rythmes abordables. Même si certaines personnes ont des rythmes plus soutenus, ils utilisent ces sorties là comme une sortie en endurance fondamentale (à plus faible allure), comme une sortie de récupération active en quelques sortes. En tout cas n’hésite pas à consulter le #happyrunningcrew, tu tomberas peut-être sur des personnes (non-adhérentes), mais pratiquant la course à pieds sur Poitiers.
Mais le principal c’est tes envies, tes préoccupations et ton plaisir avant tout.
Belle journée et belle semaine 🙂.
A très vite,
Claire
24 août 2017 at 12 h 40 minHello et merci c’est super gentil d’avoir regardé qui était de Poitiers ! J’aimerais bien sauter le pas, et rien ne m’oblige à faire toutes mes sorties avec le happy running crew mais je trouve le concept sympa et c’est une façon de rester motivée 🙂
Bise !
Claire
marieeppe
25 août 2017 at 21 h 36 minJe t’encourage à sauter le pas et comme tu le dis, tu ne t’engages à rien, c’est que du partage et de la motivation 🙂
A très vite,
Marathon des Puys en duo, Clermont-Ferrand – Marie Eppe
25 octobre 2017 at 7 h 03 min[…] je n’avais jusqu’ici qu’un seul SM officiel à mon actif (compte-rendu ici), je n’avais aucune idée de la manière dont j’allais «attaquer» la course. Je […]
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31 décembre 2017 at 10 h 11 min[…] à mon premier semi-marathon. C’est donc le 1er avril que j’ai pris le départ du semi-marathon d’Omagh, en Irlande-du-Nord. Une course réalisée sans préparation puisque blessée quelques semaines […]
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18 mars 2018 at 7 h 02 min[…] D’abord en avril 2017, puisque j’ai profité de mon séjour Erasmus pour participer à mon premier semi-marathon. Puis en octobre 2017, à Clermont-Ferrand, où j’ai participé au marathon en duo avec mon […]